On reparle du meurtre du petit Valentin, à Lagnieu dans l’Ain, en juillet dernier.

C’est ce qu’a annoncé le procureur de la République de Bourg-en-Bresse. L'un des experts estime que le discernement de Stéphane Moitoiret et le contrôle de ses actes étaient abolis au moment des faits. Les deux autres experts considèrent qu’il était atteint d'un trouble psychique ayant seulement altéré dans une large mesure son discernement. Une contre-expertise doit être demandée. Le meurtrier présumé ne sera jugé que si les experts le reconnaissent comme pénalement responsable.