Retour devant la Justice...

En février 2003, cette aide-soignante de 45 ans avait tenté de faire assassiner son mari par sa propre fille. Alors que la mère purgeait une peine de 20 ans de prison pour le meurtre son amant, elle aurait fourni des médicaments au parloir pour que la mineure empoisonne un dessert destiné à son père. Elle avait également rédigé une lettre, faussement signée de son mari, s’accusant de l’assassinat de l’amant. Ce rebondissement unique dans l’histoire judiciaire était intervenu au premier jour du procès en appel. Or, ce mari, victime, avait été retrouvé le lendemain dans le coma, échappant à un meurtre maquillé en suicide. La fille, qui avait 17 ans il y a 3 ans, sera jugée à huit clos par la Cour d’assises des mineurs.