Projecteurs sur des pratiques interdites mais répandues
Le tribunal correctionnel de Lyon a requis hier près de 70 milles euros d’amende à l’encontre de l’ancien président du groupe de maintenance de distributeurs automatiques de billets Solymatic.
Il est reproché à Michel Leblanc d’avoir eu recours à des licenciements pour fautes plutôt qu’à des licenciements économiques. Le procureur de la République a demandé à ce que les 17 licenciements effectués entre septembre et décembre 2002 soient requalifiés. Le jugement a été mis en délibéré au 24 juin. Un jugement très attendu, qui devrait servir d’exemple, pour montrer aux PDG que ces pratiques répandues peuvent être condamnées.