Condamné pour « non-assistance à personne en danger »
La Cour de cassation a confirmé la peine prononcée en appel à l’encontre de ce cadre d’une société lyonnaise.
En décembre 2003, il avait laissé conduire un jeune homme de 23 ans, ivre, qui sortait d’un repas d’entreprise de Noël. Il s’était tué au volant au premier carrefour. Le conducteur avait près de deux grammes d’alcool par litre de sang.
La Cour de cassation estime que le cadre de la société aurait dû prendre des mesures pour empêcher le jeune homme de prendre la route. Il devra donc payer 2000 euros à la famille de la victime.