Il refuse la thèse d'un crime raciste
Le meurtrier présumé de Chaïb Zéhaf, tué début mars à la sortie d’un bar d’Oullins, nie la thèse raciste de son geste.
Selon son avocat, il a affirmé qu’il n’avait aucun lien avec des groupes xénophobes. L’insigne nazi retrouvée à son domicile aurait une valeur marchande et non idéologique.
Des membres de l’entourage professionnel de l’accusé confirment qu’il n’avait pas de penchant raciste, mais soulignent un problème d’alcool.
Pour le moment, le Parquet de Lyon n’a pas retenu la thèse raciste pour expliquer ce meurtre, malgré certains témoignages.