Onze videurs à nouveau devant la justice

La Cour d’appel de Lyon examine aujourd’hui le recours déposé par Lyon Capitale et SOS Racisme dans le procès qui les opposent aux 11 boîtes de nuit lyonnaises.

Les parties civiles les accusent de discrimination après un testing organisé en mars 2000. En première instance, le tribunal avait relaxé les portiers, mettant en avant la substance du doute et le fait que le testeur d’origine maghrébine n’était pas rasé. Ce procès est le plus grand jamais réalisé en France contre des boîtes de nuit.