« C’est une crise extrêmement grave ».
Déclaration hier de Bernard Soulage, vice-président du conseil régional en charge des transports, à propos des manifestations italiennes contre le Lyon-Turin.
Il s’inquiète des conséquences de ces mouvements alors que l’Union européenne discute du budget alloué à la future ligne transalpine.
Les Verts italiens s’opposent à la construction du tronçon ferroviaire dans une région touristique et agricole qui défigurerait le paysage. Les Verts côté français le soutiennent au contraire, étant la seule alternative au fret routier. Des responsables frontaliers du parti se rencontreront en janvier pour examiner le dossier.