De fausses adresses pour échapper à la police

Les 5 personnes suspectées d'avoir agressé des membres des urgences de l'hôpital Saint-Luc-Saint-Joseph n'ont pas pu être confrontées à leurs victimes.

Les adresses qu'elles avaient communiquées à la police étaient fausses. Dans la nuit de la Saint Sylvestre, deux hommes et trois femmes s'en étaient pris au personnel médical parce qu'ils trouvaient le temps d'attente trop long. Un médecin, deux infirmières et un brancardier avaient été légèrement blessés. Et suite à ce nouvel incident, le ministre de l'INtérieur, Nicolas Sarkozy, recevra prochainement l'association des médecins urgentistes hospitaliers de France. Cette réunion aura pour but de trouver des solutions pour améliorer la sécurité aux urgences de l'hôpital.