Le massage ne fait pas bon ménage à Villeurbanne

Le gérant d'un établissement villeurbannais de massage qui employait des hôtesses a écopé, mardi, d'un an de prison avec sursis et de
3 000 euros d'amendes pour "proxénétisme".

En première instance, il avait été condamné à un an de prison dont 6 mois avec sursis et à 50 000 francs d'amendes. Il avait été dénoncé par un coup de fil anonyme. Le trentenaire devra, en outre, verser 3 210 euros aux Assedic. En effet, il continuait à toucher ses allocations chômage en plus de la recette de son institut de massage.