Le maintien des peines requis hier lors du procès en appel de l’ancien président de Lyon 3
Gilles Guyot comparaissait pour « prise illégale d’intérêt » sur les frais de bouche de l’université et « octroi d’avantage injustifié » après l’embauche de sa sœur.
En première instance, il avait été condamné dans ces deux dossiers à 4 mois de prison avec sursis et 10 000 euros d’amende, et à payer également 2 000 euros. L’arrêt sera rendu le 27 février.