Déception
La déception des salariés des anciennes usines Renault Véhicules Industriels de Saint-Priest et Vénissieux.
Le tribunal administratif de Lyon les a déboutés en refusant de classer leur ex-lieu de travail en « site amiante ». Il a jugé la requête de l’Association prévenir et réparer, l’Aper, irrecevable pour des questions de forme à cause des statuts de l’organisation.
En revanche, conformément aux réquisitions, les employés d’une filiale de RVI en Ardèche ont été reconnus victime de l’amiante en travaillant sur le site d’Annonay. Ces derniers pourront bénéficier d’un départ à la retraite anticipée à 50 ans avec 60% de leur salaire.