Un crime passionnel plutôt que celui d'un rôdeur...

L'hypothèse d'un crime passionnel serait privilégiée dans l'enquête sur la mort de l'étudiante disparue le 19 mars à Macôn.

L'autopsie réalisée hier a montré que la jeune fille avait reçu des coups violents au visage et au thorax, avant d'être jetée dans la Saône. En revanche, elle n'aurait subi aucune violence sexuelle. Les investigations se poursuivent, notamment dans l'entourage de l'étudiante.