Schwarzie et l'inflation...

On dirait un mauvais téléfilm américain (de ceux qu'on diffuse en plein après midi de semaine). Un gouverneur américain ambitionne de conquérir la maison blanche mais des écarts passés lui reviennent en plein figure. En général, une call girl est retrouvée morte dans une ruelle, devant la porte de service d'un bar poisseux et on apprend qu'elle a eu l'inconscience de tenter de faire chanter le politicien à propos de leur ébats et qu'il s'est, du coup, débarrassé d'elle en engageant un tueur à gage et... Bref, un navet en puissance comme savent faire les producteurs hollywoodien en mal d'inspiration. Ici, le politicien, c'est Schwarzie et la call girl (qui n'est pas morte, hein !) n'est autre qu'une des locataires du château de Hugh Heffner (le patron du magazine playboy). Pas de faits divers mais un beau scandale tout de même qui peut nuire à la carrière d'Arnold qui répond inlassablement aux journalistes par un "Mais qu'est-ce que tu me racontes là ? (Hein ? c'est pas le même Arnold ? Mince... Hein , il est mort ? ohh ?! et je perds mon temps à parler de politiciens ? bon ben...fin de l'article, j'ai mieux à faire)