Bernard Montiel : la rumeur sur sa mort ne le fait plus rire

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Si dans un premier temps, l’annonce de sa mort sur Internet l’a amusé, les proportions que prennent la rumeur commencent à dépasser Bernard Montiel…
Hier midi, une rumeur a affolé Twitter : la mort de Bernard Montiel, l’animateur au bronzage californien. La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre, relayée par de nombreux internautes. Bizarre, quand on sait que Bernard Montiel est actuellement au festival de télévision de Monaco dont il a présenté la soirée d’ouverture hier et dont il doit présenter la soirée de clôture jeudi prochain.
Bernard Montiel nous confirmera de vive voix et non sans amusement qu’il est « bien en vie ». Plutôt cool, Bernard nous déclarait : « Je trouve ça délirant, même si c’est plutôt triste d’annoncer ce genre de chose ». Sauf que les heures passant, le téléphone de Bernard n’a cessé de sonner et que la blague a tourné au vinaigre, comme il l’a rapporté à nos confrères de 20minutes. Ce qui était plutôt drôle est pour lui devenu « scandaleux » dans la mesure où nombre de ses proches y ont cru.
« C’est Voici qui m’a téléphoné, pour me demander si j’étais bien en vie… Et puis tout le monde m’a appelé ensuite, des amis, des collègues, ma famille, pour savoir si j’allais bien. Moi je suis à Monte-Carlo pour le festival de télévision, je suis bien vivant... » a-t-il raconté avant de poursuivre : « Au début oui, ça m’a fait rire. Mais en fait je finis par trouver ça scandaleux. Tout le monde m’appelle pour savoir comment je vais, d’Alain Delon à Isabelle Adjani, et tout le monde s’inquiète, tout le monde est au courant. J’ai le sens de l’humour, qu’on se moque des personnes publiques, je trouve ça normal, et ça n’engage que nous. Quand on les déclare morts, ça engage les proches, ça peut leur faire du mal. C’est aberrant, ça m’énerve ».
Et de là à relancer le débat sur l’anonymat sur Internet, il n’y avait qu’un pas, que Bernard a allègrement franchi. « S’il n’y avait pas d’anonymat possible sur Internet, ça n’arriverait pas. Ca relance le débat sur l’anonymat. » Un emballement à mettre sur le compte de l’émotion.