Confessions chocs de Michael Youn pour GQ !

Tu m'as pas l'air très sain... Tu ne te drogues pas ? soupçonne Beigbeder. "Moi, c'est pas compliqué, j'ai tout essayé de 22 à 25 ans. J'ai même expérimenté ce que ça fait avec un garçon, ce que je croyais être un vice. Je me suis dit «On ne sait jamais, si je meurs vite...» Je voulais essayer. C'est depuis que tu t'habilles souvent en fille ? "Non, je suis profondément hétérosexuel mais je sais pourquoi je n'aime pas le corps d'un homme : ses poils, son odeur, le sexe d'un homme. C'est pareil pour les drogues. Ça m'a amusé un temps, et puis c'est passé, j'ai arrêté du jour au lendemain sans avoir de problème avec. Mais au moins maintenant, je peux en parler avec les gens." "Dans mon téléphone maintenant (...), les filles sont classées par ville. Par exemple, quand j'arrive à Fréjus, je tape F et je vois les prénoms qui vont à côté : Fréjus = Marie, Constance... (...) Soit ça se fait, soit ça ne se fait pas. Si ça se fait, je mets un petit 1 et si ça se fait pas, je mets un 2. Donc j'arrive à Fréjus, je tape F, Fréjus, Constance, Marie, Eglantine. Constance, il y a un petit 1, c'est déjà fait et hop, si j'ai envie, un coup de fil." Et est-ce qu'il leur fait le test des trois jours aux demoiselles qu'il fait rentrer dans son lit, demande Beigbeder ? "Ça peut être trois nuits. Et puis tu te rends compte que tu l'aimes bien ou que tu ne peux plus l'encaisser. J'ai rencontré une fille récemment qui, quand elle a joui, a hurlé : "C'est bon, tu le tiens, vas-y, il est là, ne le lâche pas, il est à la porte." On était dans des chiottes, je me suis demandé de qui elle parlait. Ça m'a complètement coupé." Voilà quelques-uns des croustillants passages proposés par GQ. Pour le reste, courrez dans un kiosque...