La directrice d'un cabinet infirmier devant le tribunal de Lyon

Cette femme, âgée de 51 ans, employait pour des soins infirmiers du personnel non-qualifié, femme de ménage, aide ménagère ou encore veilleuse de nuit.

Ces soins étaient prodigués à des pensionnaires d'une maison de retraite du Rhône rural. Sur le plan pénal, il est reproché à cette infirmière libérale une escroquerie à la sécurité sociale d'environ 150 000 euros. Le ministère public a requis hier deux ans de prison avec sursis probatoire, l'obligation d'indemnisation et une amende de 100 000 euros. Le jugement sera rendu le 17 octobre prochain.