La maire de Vénissieux dénonce une "prise d'otage" des élus

La maire de Vénissieux dénonce une "prise d'otage" des élus
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Jeudi matin, 50 Roms ont été évacués du camp de Surville, dans le 7e arrondissement. Ces familles se sont alors installées au centre social de Parilly à Vénissieux.

Michèle Picard, la maire de la ville affirme que cette occupation ne peut pas durer car il ne s’agit pas d’un lieu d’hébergement. Mais elle refuse d’être culpabilisée, alors que le 115 n’a pas de solution. Elle réclame la tenue d’une table-ronde par le Préfet afin d’apporter une réponse décente aux 800 Roms qui errent dans l’agglomération.