Il est temps de reprendre les cours

Selon lui, il "y a eu suffisamment d'avancées pour considérer qu'il est temps de reprendre les cours", après dix semaines de protestation contre les réformes de l'enseignement supérieur. Lionel Collet a également souligné que si les cours restaient perturbés au-delà de mi-avril, l'année universitaire serait menacée pour certains étudiants. Il a d’ailleurs rappelé qu’avec le blocage, l'université prend le risque de s'affaiblir en laissant partir des étudiants vers des établissements privés ou vers les filières sélectives. Certains pays remettraient même en cause le maintien des conventions qui les lient avec des universités françaises, en raison du grand nombre de cours supprimés depuis le début du conflit.