La construction du mémorial du génocide arménien était illégale

C’est ce qu’a estimé le tribunal administratif de Lyon.

Il a en partie donné raison à l’association de défense des places Bellecour et Poncet qui conteste l’installation de ce monument sur la place Antonin-Poncet depuis le lancement du projet. La justice a annulé l’autorisation de construction qui avait été accordée par le Grand Lyon. Elle considère que cette décision n’entrait pas dans ses compétences, la place n’étant pas une voie publique. En revanche, le tribunal n'a pas demandé la destruction du mémorial.