Une lueur d’espoir pour les porteurs du collège-lycée musulman de Décines
Alors que le tribunal administratif de Lyon examine l’opposition du rectorat à l’ouverture de l’établissement, le commissaire du gouvernement, l’équivalent du procureur, a conclu que la justice ne pouvait pas trancher.
Seuls le Conseil académique de l’éducation nationale et le Conseil supérieur de l’éducation en appel sont aptes à autoriser l’ouverture ou non d’un lycée. Or le Conseil supérieur a demandé au tribunal administratif de se prononcer.
Les deux instances se renvoient donc la balle. Pour les porteurs du projet Al-Kindi, cela signifie que personne ne peut formuler d’opposition recevable à l’ouverture. La décision du tribunal administratif sera rendue dans un mois.