Les suites de l’affaire Gollnisch…

Un non-lieu a été rendu à l’encontre du numéro 2 du FN poursuivi pour contestation de crime contre l’humanité après ses propos ambigus sur les chambres à gaz en octobre 2004.

Le juge d’instruction considère que la réalité des camps d’extermination organisée quasi-industriellement n’a pas été contestée par le leader frontiste lors de la conférence de presse. Le parquet a fait appel de ce non-lieu. Le président du conseil régional, Jean-Jack Queyranne, et les 6 présidents des groupes de droite et de gauche seront jugés dans 8 jours pour diffamation à l’encontre de Bruno Gollnisch. A cela s’ajoute une autre procédure : le numéro 2 du FN est aussi poursuivi en citation directe sur demande du Garde des Sceaux, Dominique Perben, au moment des faits. Cette audience est fixée au 23 mai.