Les réquisitions sont tombées
Au procès de la catastrophe du tunnel du Mont-Blanc à Bonneville, le procureur de la République a requis la peine la plus lourde à l’encontre du responsable français de la sécurité : il risque 3 ans de prison avec sursis et 12 mille euros d’amende.
2 ans avec sursis ont été demandés contre l’ancien PDG de la société concessionnaire du tunnel, 6 mois avec sursis pour le chauffeur belge, et la relaxe pour le constructeur du camion Volvo.
16 prévenus dont 12 personnes physiques comparaissent pour la mort de 39 automobilistes dans l’incendie de l’ouvrage en mars 99. La semaine prochaine sera consacrée aux plaidoiries de la défense.