Une secrétaire poursuit son ex-empolyeur en justice

Une ancienne secrétaire d'une étude notariale lyonnaise a attaqué son ex-employeur pour "inertie", hier devant les Prud'hommes de Lyon, l'accusant de ne pas être intervenu pour faire cesser le harcèlement moral exercé contre elle par sa supérieure hiérarchique directe.

La plaignante réclame 60.000 euros de dommages et intérêts à son patron, s'appuyant sur le Code du travail qui stipule qu'"il appartient au chef d'entreprise de prendre toutes les dispositions nécessaires en vue de prévenir les agissements" de harcèlement moral.