La relaxe prononcée dans l'affaire des onze videurs de boîte de nuit
C'est le jugement prononcé aujourd'hui par le tribunal correctionnel de Lyon à l'encontre des onze prévenus poursuivis pour discrimination raciale.
En première instance, des peines de deux mois de prison avec sursis et 500 euros d'amende avaient été requis. Les magistrats ont déclaré aujourd'hui qu'il y avait un problème de preuve. Le testing a été réalisé en 2001 par l'hebdomadaire Lyon Capitale et donc à des fins financières, selon la justice. L'association SOS racisme, qui s'est dit déçue par le jugement, réfléchit à la possiblité de faire appel.