35 heures : Jean-Pierre Raffarin monte au créneau

Le premier ministre s’exprime aujourd’hui dans les colonnes du Journal du Dimanche.

Il dénonce les "abus de rapport de force" commis par certaines entreprises qui demandent à leurs salariés de travailler plus sans hausse de salaire. Allusion, bien sûr, au cas de l’usine Bosch de Vénissieux. "Oui au changement, non au chantage" dit Jean-Pierre Raffarin qui plaide ainsi en faveur d’un assouplissement des 35 heures.