Sarkozy n'approuve pas vraiment l'accord conclu chez Bosch à Vénissieux
En déplacement hier à Clermont-Ferrand, Nicolas Sarkozy a réagi à la situation des salariés de l’usine Bosch de Vénissieux qui ont accepté de travailler 36 heures par semaine au lieu de 35, sans compensation salariale, et ce pour éviter une délocalisation de la production et sauver une partie de leurs emplois.
Le numéro deux du gouvernement a dénoncé « les expériences qui reposent sur une forme de chantage. » Il a mis en avant le volontariat et la rémunération du travail. « Quand on travaille davantage, c’est normal qu’on gagne davantage » a-t-il ajouté.