Ces derniers sont jugés par le tribunal correctionnel de Valence pour délit de marchandage, prêt de main d’oeuvre illicite et travail dissimulé. Ils sont soupçonnés d’avoir abusivement utilisé des filiales de pays de l'Est et du Portugal pour faire travailler plus d'un millier de chauffeurs étrangers à moindre coût.
Le parquet a également requis 225 000 euros d’amende à l’encontre de chacune des trois sociétés du groupe lyonnais, racheté depuis par l’américain XPO.