Parc OL : les tops et les flops du Grand Stade

Parc OL : les tops et les flops du Grand Stade

Ce samedi, l'Olympique Lyonnais découvrait sa toute nouvelle enceinte. Et le Parc OL était attendu au tournant, sur de nombreux aspects.

Ce qui a marché au Parc OL :

 

- l’ambiance. Dans la voiture qui nous emmène au Parc OL déjà, les frissons étaient de mise. Lorsque vous arrivez à proximité de l’enceinte, vous savez qu’il peut s’y passer de grandes choses. Ensuite, des concerts, des sourires accueillent les supporters aux abords des tribunes. Sonny Anderson se balade dans les travées, serre des mains, se fait prendre en photo.
Puis le match débute et une toute nouvelle ambiance relègue celle de Gerland au siècle dernier. Le Parc OL ne sera pas toujours aussi plein mais les plus belles pages de l’histoire du club pourraient s’y inscrire avec panache.

 

- la dimension connectée. Jean-Michel Aulas avait mis le paquet à ce sujet et il a finalement bien fait les choses. Une 4G d’enfer, un réseau toujours présent et un Wifi décapant, tout ça au milieu des champs décinois ! Concernant l’application qui permet entre autres de trouver sa place ou commander sa bière, il s’agit bien d’un gadget qui devra évoluer pour devenir un compagnon indispensable.

 

Ce qui ne marchait pas au Parc OL :

 

- tout le monde est perdu. S’il était normal que supporters et journalistes cherchent leurs marques au Parc OL, ça l’était moins concernant le personnel. Les stewards étaient incapables d’indiquer le chemin, comme si on les avait planté devant leur tribune sans plus de formation.

 

- la sécurité. Bien sûr aucun incident n’a heureusement été à déplorer. D’autant que le Parc OL réalisait ce samedi ce qui restera comme l’une de ses plus importantes affluences. Mais nous avons pu accéder aux tribunes de presse sans être fouillés. D’autres confrères n’ont à aucun moment été contrôlés dans les travées du Parc OL, de l'extérieur jusqu'au terrain.

Thierry Braillard, présent ce samedi, a vanté les mérites du stade, il faudra toutefois trouver rapidement un rythme de croisière avant l’Euro.