Le reste du temps, il était vandalisé, recouvert de peintures par des personnes n’appréciant pas de voir l’appareil lutter contre la mortalité sur cet axe particulièrement accidentogène.
La préfecture du Rhône a tenté une dernière fois de remettre le radar en service ce mardi, avant de se rendre compte qu’il avait été vandalisé quelques heures plus tard. La décision a alors été prise de le faire déménager la semaine prochaine en espérant le mettre ainsi à l’abri.
Une implantation sur un autre axe n’est pas exclue, mais elle n’interviendrait qu’au mois de février.