Le gérant des établissements de Vénissieux et de Saint-Priest s'était volatilisé.
Plus d'un an plus tard, certaines de ces personnes lésées qui cherchaient à récupérer leur argent ou à poursuivre leur formation en portant plainte pour abus de confiance, faux et usage de faux, ont appris fin novembre que l'affaire avait été classée sans suite par le parquet de Lyon, pour cause de "recherches infructueuses".
Le gérant avait été entendu par les enquêteurs en juin 2014 après s'être rendu. Mais il avait été laissé libre dans la foulée.